LE CHOIX ENTRE DEUX ROUTES

8 février 2014

LE CHOIX ENTRE DEUX ROUTES

LE CHOIX ENTRE DEUX ROUTES

le 29/06/2010 –sur le trajet de CHALONS SUR SAONE vers CAPDENAC GARE

Quand je vois la pente a franchir , qui est dans Besse , cela me laisse perplexe , mais i faut y aller,en plus je ne sais pas très bien comment je vais réagir dans cette montée qui est plus q’une grimpette ,en plus juste aprés le rond-point en bas de Besse , ce qui d’entrée me mets le moral à plat car malgré que je vais mieux , je ne suis pas en pleine forme avec cette impression d’être dans du coton .En plus je pense que tant que je ne rencontrerai pas le croisement de Super Besse , cela montera encore , je verrai bien , je suis dedans et il faut y aller sans discuter.

Ouf juste un peu de plat

Pour tout arranger , je serai dans l’obligation de m’arrêter pour me vêtir des vêtements de pluie , sauf que trés vite je m’apercevrai que c’est une giboulée de petite grêle , oh chance je trouverai un lieu pour m’abriter , mais j’ai peur de prendre froid ,  encore une fois je ne me sentirai pas trés bien , cet arrêt n’est pas fait pour arranger les choses .Quand tout cela se calmera je prendrai la route et roulerai le plus longtemps possible en traversant de fabuleux paysages , mais aussi de trés belle vallées , juqu’au moment ou je serai dans la brume .
Je ne sais pas encore comment je me suis débrouillé mais je me retrouve sur une route à trés forte densité en voitures ,en camion , la D978 ,il faut que je remédie à cela au plus vite .Oui mais voilà avec ma tête de linotte , j’ai oublié de remplir mes bidons , je n’ai presque plus rien à boire en plus il fait trés chaud . Priorité des priorités trouver de l’eau ,ensuite prendre une autre route que celle-çi , si possible une petite départementale.Fort heureusement il y a une maison pas trés éloignée d’un village Feniers me semble t’il , et un monsieur est dehors , je m’arrête et lui demande poliment si il ne pourait pas me remplir mes deux bidons , cela va me permettrre aussi de me renseigner pour trouver une petite départementale .

Merci Madame et aussi à votre mari ce litre d’eau m’a rendu un grand service

Je vous avoues que cela m’a rassuré et conforté que les gens de france et notamment tous ceux qui sont en france profonde sont autre chose que ce français des grandes villes (celui que je dénomme le mouton de panurge ) , reste que pour moi ce n’est plus la france mais la sarkozie petite province oublié ,rejetée, nauséabonde des states , à moins qu’elle tente de ressembler par une trés pâle copie aux étates unis , pas étonnant du tout avec ces politiques qui ne connaissent rien à la france , ce si beau pays que quelques énerguménes sont en train de détruire et enfoncer vers je ne sais quoi ( une nouvelle guerre certainement )

 MA CULTURE PHOTOGRAPHIQUE SE NOURRIT

Entre Condat et LE PUY MARY sur le trajet de CHALONS SUR SAONE vers CAPDENAC GARE

Pas facile de circuler sur ces petites routes qui montent et qui descendent , pleines de graviers ou de boues, du coup quand je suis sorti du camping , je me suis retrouvé devant un choix cornélien , mais cela j’y reviendrai plus tard , puisque comme à l’habitude j’ai trainé dans mon sac de couchage et traîner aussi à remballer tout.

Ce qui me permettra de dire au revoir au couple du camping car et de flaner aussi avec  ce si sympathique imprimeur de la Seine et Marne , ce qui fera que nous nous rassasierons par un joli menu à midi  ce au café du camping la Santoire . Cela à pour effet que je ne décolle pas avant 13H3O , décidément  je ne pourrai jamais partir de bonne heure et rouler à la fraîche le matin , ce qui me fait dire que je ne vais pas rouler un grand nombre de kilométrres .

Brume et nuages qui cachent la ville de Condat , vue d’en haut cette bourgade semble dans un écrin , je n’ai pas le temps ou presque pas le temps d’admuirer le paysage car  ça descends et c’est mouillé donc je dois être vigilant , en plus je crois que je n’ai plus de frein avant , je redouble de prudence .Je sens le besoin de me substanter et aussi de prendre du chaud , par chance au détour d’un virage il y a un café patisserie qui se présente à mes yeux . Il tombe bien celui -là . Je marque un arrêt pour me remetre ou tenter de me remettre en forme.C’est la que je comprends que je suis dans le fief de Georges POMPIDOU , donc je me renseigne , effectivement il est né dans le village au dessus et y a toujours résdé .

Vieille charrette

 

Je repars une bonne demie heure aprés en contrôlant mes patins de frein, effectivement je vais être dans l’obligation de les changer , aussi bien à l’avant qu’à l’arriére.Je ferai quelques métres , quand je vis une affiche d’une exposition photo . Il y avait un homme qui nettoyait l’entrée et le sol de la rue pour rendre propre l’endroit . Je m’adresse à lui pour en savoir plus sur cette exposition. En fait Albert MONIER, est un photographe de la région qui plus est , doit être l’inventeur de la carte postale et aussi du poster ( c’est ce que l’on m’a précisé) Une carte postale me fût offerte par la dame qui tient l’exposition ( cette carte est destinée à Tiphaine , je vais te l’envoyer , afin que tu saches et connaisse ce photographe) Bien entendu les gardiens de l’exposition  font tout pour que ce photographe soit reconnu à la maniére des Doisneau , Willy Ronis etc…………. la dame tentera même de me vendre des clichés et le porto -folio , mais je transporte déja lourd dans ma remorque et sur le vélo ce serait un poids supplémentaire .Je lui ferai comprendre et je lui ferai savoir que ma retraite n’est pas une retraite de sénateur , donc que je ne peut pas me permettre.

Brumes et nuages

 

Je quitterai cette exposition en pensant que je dois trouver un endroit pour dormir , puisque la journée à tout de même été éprouvante , mais avant je dois quitter Condat. Tout en bas du bourg aprés un beau virage à droite , il y a un croisement qui m’indique déja le Col du Puy Mary , un gros morceau mais je n’en suis pas encore la .Je regrimpe à nouveau jusqu’à Saint Bonnet de Condat ou se mets en travers de ma vue un petit café avec terrasse qui indiquait aussi un camping , en fait c’est le camping  la Santoire, où j’y ai passé la nuit .

Camping sympa , ainsi qu’agréable , je m’y installe et de suite un monsieur me dira bonsoir en allant prendre sa douche la sympathie s’installera de suite , en plus marrant  comme je peut faire certains raisonnements , je passe devant une tente   , à côté il y a une voiture immatriculée YCM 77 ( je pensai de suite Yellow , Magenta, Cyan et 77 c’est Meaux pour moi ou a 18 ans je faisais mes premiers poémes et entendait pour la 1ere fois  « Satisfaction » par les Rolling Stones).le gars à dû m’entendre car je pensais a haute voix , du coup on a sympathisé aussi , dans ce camping il n’y avait que ces 3 locataires.Une soirée fort agréable s’annonçait et effectivement elle s

Je passerai à quelques métres de cette plaque de neige au Puy Mary

e passera bien , je remercie encore le couple pour le sel , car des pâtes sans sel c’est vraiment pas bon.

A BOUT DE FORCES JE DEMANDE

LAVIGERIE sur le trajet de CHALONS SUR SAONE vers CAPDENAC GARE

Il me restait 7 kilométres à couvrir pour arriver au sommet du Col Puy Mary , je n’avais pas compté que  je finirais la journée à bout de forces au point que je mis le pied à terre et que je demanderai un endroit pour planter ma tente Wechsel . Bien m’en pris car je ne savais pas du tout ce qui m’attendais , malgré que je le devinais , que je le craignais aussi.  Cela je ne le saurai que le lendemain.(Quelque fois j’ai de bonnes intuitions ,  sauf que la c’est la fatigue musculaire , la fatigue physique et morale c’est vrai que ça tue de ne voir que de la montée)

Comme d’habitude j’ai beaucoup de mal à sortir de ma tente le matin , cela me permettra de dire au revoir au couple du camping car et aussi de revoir le jeune homme de la seine et marne. Je rangerai tranquillement , ce qui m’emmenera de suite à midi en sachant  que je vais avoir une journée difficile , j’ai pensé à manger surtout que le menu du jour du petit restaurant du camping  est un civet de lapin avec des pâtes , je raffoles de ce plat .Mon ami imprimeur de la Seine et Marne en fît autant , ce qui fait que nous passons encore un bon moment ensemble , mais tout à une fin ,au moins une fin pour la journée , car ce sera une surprise , que je vous relaterai plus tard mais pas aujourd’hui . Pour l’instant il suffit de reprendre la route et le rythme de mon pédalage , seul les conditions du relief imposeront mon rythme , surtout quand ça grimpe ou que ça descends , puisqu’il ne faut pas oublier que j’ai ma bob Yak qui chargée , attelée au vélo pése un certains poids , en descente me pousse  terriblement .. Bref je prendrai diverses petites routes , pour rappel je crains fort les routes à haute densité en véhicules à quatre roues , autrement dit  ces conducteurs qui se croient les rois de la route , la route ne leur appartient pas à ces imbéciles ( oh que je suis poli ).Encore une fois je me retrouve sur une route départementale qui est presque une route nationale , en plus je créve de soif et mes bidons se vident à vitesse grand V.

Trait de lumiére

Je prends vraiment peur sur cette route ou certains se  prennent pour Sébastien Loeb , coupant les virages à la corde sans tenir compte qu’en face peut surgir une voiture , une moto , un vélo ou autre -chose ,  il ya vraiment des tueurs sur la route , notamment sur les routes de la sarkozie .Mes bidons sont presque vides du moins un est deja out le second sa vie est plus que courte , donc il faut que je trouve de l’eau , même une fontaine  d’eau non potable , la je la pomperai avec ma kitadin , mais je ne vois personne , arrivant à un petit village dont je ne me souviens pas le nom , j’ai espoir de trouver ma recherche .En fait ce sera  au bord de la route , une maison assez isolée ou un Monsieur bricole ou range sa voiture , je m’arrête et lui demande si il ne pourrait pas me remplir mes deux bidons d’eau . Ce sera avec une extréme gentillesse qu’il me fera rentrer dans son domicile en me montrant le robinet ou je remplirai mes bidons . J’en profiterai pour lui demander comment qitter cette route qui me fais peur , il me conseillera de passer par Dienne , en me prévenant que je vais vers du trés grimpant , je lui réponds que je m’en fous je préfére ma sécurité , et que le temps ne m’importe pas ou peu .

Dans la maison de ce monsieur que je remercie particuliérement , il y a une superbe cheminée , la même que celle ou j’avais fais bruler mes chaussures  un certain hiver à Uzerches , jour ou j’ai connu une fille qui s’appeleait Marie Annick Guignon , et ou le grand Busson et moi -même recherchions un hôtel , puisque je travaillais chez Piguy en traitement du bois .Je photographierai cette cheminée et sa propriétaire  pour les remercier de leur geste pour apaiser ma soif .

La pointe au fond c’est le Col du Puy Mary

Je quitterai ce couple de personnes si gentilles et si appréciables pour faire presque deux kilométres avant de prendre la direction indiquée par mon donneur d’eau .En effet elle est tranquille pendant un certain temps , plate pendant quelques kilométres , ce qui me permet de me refaire un peu moralement et physiquement .Quand un groupe de motards anglais me doubleras , là je peut dire que je me suis mis à penser quelle chance ils ont , juste à tourner la poignée , fait du hasard ou pas , bonne réflexion ou pas , ils me doublérent au moment ou un panneau annonçait un hôtel avec sauna et hammam , je ne sais pas pourquoi j’ai pensé que je verrais les motos à cet hôtel ,  j’y ai pensé .Par contre je ne pensais pas à une telle pente  pour arriver à cet hôtel , elle était plus que rude  et effectivement j’ai vu ces motards en passant devant . Je ne vous dis pas que j’en avais envie de sauna , afin de m’enlever toute cette fatigue , sauf que je ne peut pas financiérement et que je dois continuer au moins jusqu’àu village dénommé Lavigerie .

Enseigne du gîte

 

J’en ai marre de cette pente qui me fatigue de plus en plus , marre de ce poids que je traine , mais sans lui je serais certainement dans un lit malade comme un chien , donc tant que je ne suis pas au Maroc je ne jette plus rien , on verra la bas car j’ai encore à ma payer les cols et le climat de l’Espagne . Précautions quand tu nous tiens .

C’est avec une extreme fatigue , ne pouvant presque plus tourner les manivelles que j’arrives dans ce dernier village , que je commençais à maudire et à injurier cette pente , quand je verrai un homme assis à une terrasse . Je n’hésiterai pas une seconde a sa hauteur je descends du vélo , mets la béquille de ma Bredelette , le salue en lui demandant si il n’avait pas un petit bout de terre pour planter ma Wechsel.Ma démarche étonnera tellement le personnage qu’il me montrera ou me mettre en fait juste derriére sa maison . Je peut vous dire que cela à été un énorme Bonheur et soulagement , même que le terrain soit trés rocailleux , pardi je suis en montagne .Enfin je vais pouvoir me reposer .

Je passerai la nuit derriére la ferme du patron ( adossé au véhicule)

JE L’AI VAINCU ALORS QUE BEAUCOUP PENSAIT QUE JE NE PASSERAIS PAS

AURILLAC sur le trajet de CHALONS SUR SAONE vers CAPDENAC GARE

Route du col , montée à cet endroit 15 pour cent

 

C’est simple Le secteur du Puy  Mary (1787m) offre les cols les plus ardus du département du Cantal.Ce qui me fait dire que je l’ai vaincu , tout en faisant savoir à tous ceux qui pensent ou qui ont pensés que je ne franchirai pas les cols , qu’ils se sont bien fourrés le doigt ou je pense , car c’est mal me connaître malgré mes cannes de moineau et ma musculature d’un truc visqueux .

Je savais même avant les premiers coups de pédales que je rentrais dans un truc que je ne connaissais pas , cela fait un moment que l’on me prévient que ça va être trés ardu , je m’en apercevrais quand les cyclistes , ceux qui ont envie de grimper ou de se défier en y incluant même  ceux que je dénomme comme dopés à je ne sais quoi , un seul mot sortait de leur bouche  << Oh Putain>> le mot se démocratise à fond , il y a ceux aussi qui disent courage ou qui applaudissent , certes cela donne du courage et me rassure , mais sans plus .

Imaginez la déclinivité

Comme vous le savez je regarde aussi le paysage , fort heureusement, je m’arrêtes souvent pour des prises de vue en plus cela me permets de récupérer , j’ai moins mal aux jambes qu’au départ ou en Suisse allemanique , certes mais j’ai encore mal , je dois être maso à mes heures.En voyant les véhicules et les camping cars montés doucement , je réalise que je suis dans du trés tres dur , non seulement cela je  les vois passer les lacets , ce qui me démoralise   pendant un certain temps .Lorsque je m’arrêtes pour prendre une photo d’une cascade et pour situer ou je suis , quand une voiture s’arrête à quelques métres de moi. Le couple prends des photos de paysage , il voit bien la cascade mais n’ose pas s’approcher , je leur signale et leur dit de venir juste en face , le contre jour est évoqué , je leur dis de mettre le flash , ou de le forcer le flash , ils sont étonnés , du coup nous sympathisons et discutons un bon moment . Le col semble m’attendre  en me narguant , sauf que je sais que je le vaincrai , à quel prix je n’en sais rien du tout  .La question que je me pose   c’est quand est-ce que je vais mettre le pied à terre et pousser l’attelage ?

Magnifique

La réponse interviendra  juste au moment ou j’aborderai juste le lacet avant celui qui est sur la photo, au moment ou je voulais metre pied à terre pour me reposer un peu .Je suis à l’arrêt juste devant un refuge qui accueille des randonneurs et qui vois je arriver avec un sourire aussi large que la montagne , voyageur solitaire  à l’imatriculation YCM 77 . Je ne vous dis pas la surprise et quelle agréable surprise .Nous discutons longuement et je réalise la pente que je vais devoir affronter dans les deux derniers kilométres de ce col du Puy Mary.Comme il doit aller manger , je me suis dis que si je ne me ravitaillais pas , je ne monterais pas cette pente , donc à côté de l’auberge  il y a un petit lieu ou on peut se désaltérer et aussi manger de quoi se remettre en forme . L’assiette de charcuterie à été bienvenue et elle me servira , puisqu’a la reprise de mon attelage , je mis les pieds sur les pédales mais ne fis que quelques métres et dû descendre et pousser , il me reste à peu prés 1500 métres a pousser pour être en haut , le sommet je le regarde souvent et je me dis plus que , j’ai les jambes en feu  et je boite de plus en plus , je passerai c’est sur , dans combien de temps ? Je ne sais pas , je souhaite pouvoir le passer assez rapidement pour que je puisse descendre tranquillement le versant qui me ménes vers Aurillac .

Apparition innattendue

Je suis sur le sommet de ce col , bien content d’avoir passé cette épreuve , certes j’ai souffert , lutter contre moi-même , repousser mes limites , cela fait un bien énorme , je souffle , j’apprécie ce moment et je vois tout en beauté, je revois le couple de la cascade , une jolie demoiselle qui s’amuse avec l’eau , d’un seul coup tout m’enchante , même un verre d’eau .

Il faut tout de même que je reprenne  le guidon et que je me dirige vers Aurillac sans savoir si j’aurai le temps de rejoindre cette ville , ce qui me fait prendre la décision de m’arrêter au 1er camping que je croise .Je pensais tomber sur une aussi bonne route , en bitume , que celle de la montée , je déchanteraiu vite , malgré que ma vitesse n’est pas affolante , je n’ai plus beaucoup de frein arriére et avant donc je suis tres trés prudent. Une circulation alternée me bloquera une dizaine de minutes . Quand je repris la route et passerai ce secteur de voies alternatives je fus surpris que cette descente n’est qu’un tas de gravillons , je me retrouve avec une peur bleue de chuter sur ces graviers qui sont en forte épaisseur .La descente s’effectue trés  difficilement , je panique même à certains moments donnés tellement le gravier est épais et glissant , pas trés malin ce genre de revêtement et ce jusqu’en bas , ou je croiserai un camping mais il me faut aller à la poste pour faire un retrait . Manque de bol , c’est pas une poste mais un relais poste qu’il y a dans ce village et retirer dans les relais postes c’est impossible . Obligé de me rendre à Aurillac à tout prix . Il reste 47 kms pour arriver à cette ville ; j’ai peur de ne pas y arriver ce soir , vu que j’ai laissé pas mal de forces dans le Col Puy Mary.

Paturages de montagne

Plusieurs fois j’ai croisé , recroisé deux cyclistes , les mêmes en fait qui m’encourageaient , je les retrouverai à l’entrée d’Aurillac en train de mettrre leurs vélos sur la voiture , je m’arrêterai pour leur demander si ils connaissaient la ville et pour savoir ou se trouve le camping . Ils m’ont fort bien renseigner , je les en remercies vivement  puisque j’arriverai au camping sans encombres .Au premier abord le responsable du camping m’apparût comme bourru et tres sec ( je me rendrai compte tres vite du contraire )  il m’indiquera ou me mettre tres séchement  , ce qui me mis mal à l’aise et que je monterai la tente , en ne faisant que bougonner aprés lui , en plus Besançon et Dôle ressurgissait , je n’aurais pas été si fatigué , je repartais de ce camping pour aller ailleurs , même en sauvage .

Rencontres
Avant d’attaquer les derniers hectométres du col
Décidément tout est beau à ce sommet
Le sommet du Puy Mary

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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